<div id="x" > <table id="tabletxt" > <tr> <td > <p><a name="0" id="0"></a></p> <p class="rougemaigre centre">L'EXPERIENCE RELIGIEUSE CHRETIENNE ET l'EXTASE.</p> <p class="rougemaigre centre"> (+ Commentaire du &quot;M&eacute;morial&quot; de Blaise Pascal)</p> <div class="just"> <blockquote> <p class="petit vertmaigre">Abstract: L'exp&eacute;rience religieuse chr&eacute;tienne n'est pas n&eacute;cessairement une extase. Elle ne s'identifie ni au &quot;sentiment oc&eacute;anique&quot; de Freud ni &agrave; &quot;l'exp&eacute;rience du sublime&quot; en art ni &agrave; une &quot;crise psychotique&quot;. </p> </blockquote> <p> Journal.</p> <p>...Manifestement, en ce qui me concerne -mais je ne suis &eacute;videmment pas un saint-, je ne peux PAS parler d'extase lorsque je re&ccedil;ois une exp&eacute;rience religieuse. Pour moi, ce serait m&ecirc;me ce qui fait la principale diff&eacute;rence entre l'exp&eacute;rience du sublime en art et l'exp&eacute;rience religieuse. Si ces deux exp&eacute;riences peuvent conduire aux larmes de joie, j'ai toujours ressenti qu'elles se distinguent tr&egrave;s nettement l'une de l'autre. Jusqu'ici je ne pouvais expliquer la diff&eacute;rence entre ces exp&eacute;riences que par la diff&eacute;rence de ce qui les provoque et par la diff&eacute;rence de leurs pr&eacute;occupations. Mais maintenant je distingue plus clairement une diff&eacute;rence de texture entre ces deux exp&eacute;riences: il me semble que les proc&eacute;dures mentales et les cat&eacute;gories mise en jeu par le sujet qui vit ces exp&eacute;riences ne sont pas les m&ecirc;mes. </p> <p>L'exp&eacute;rience religieuse n'est pas extatique parce qu'elle laisse rigoureusement ma conscience dans le lieu et dans le temps des scientifiques avec un pass&eacute; un pr&eacute;sent et un avenir, …et je n'arrive m&ecirc;me pas &agrave; m'en distraire! Le lieu et, surtout, le temps ne sortent pas des pr&eacute;occupations mentales m&ecirc;me au plus fort de la crise! Mieux; je vis syst&eacute;matiquement au coeur de l'exp&eacute;rience religieuse une forme de d&eacute;ception anticip&eacute;e qui ne fait qu'accentuer l'importance que j'accorde &agrave; la crise: <span class="ital">&laquo;<em>Cela ne durera pas longtemps, h&eacute;las!</em>&raquo;</span>. Oui, je dois bien parler d'une forme particuli&egrave;re de tristesse au coeur des exp&eacute;riences les plus intenses et les plus agr&eacute;ables de ma vie! En cela cette exp&eacute;rience est v&eacute;ritablement et int&eacute;gralement &laquo;vivante&raquo;: elle est consciemment inscrite dans la dur&eacute;e et pas dans l'&eacute;ternit&eacute;. Je n'ai donc pas &agrave; parler d'extase. </p> <p>Au contraire, l'exp&eacute;rience du sublime s&eacute;pare momentan&eacute;ment ma conscience de mon existence mat&eacute;rielle. Cette exp&eacute;rience a ceci en commun avec l'orgasme sexuel par exemple, de m'extraire mentalement de la dur&eacute;e, de me jeter hors des lieux. (Plus l'orgasme est de bonne qualit&eacute;, plus il est hors de toute pr&eacute;occupation spatiotemporelle, physique, charnelle… Il en va de m&ecirc;me de l'exp&eacute;rience du beau.) La conscience du &laquo;moi&raquo; sort v&eacute;ritablement de mon corps et s'ab&icirc;me dans une f&eacute;licit&eacute; indiff&eacute;renci&eacute;e o&ugrave; le &laquo;je&raquo; ne s'oppose plus &agrave; un &laquo;il&raquo; ou un &laquo;tu&raquo;… Il y a bien un rapport de fusion mentale &agrave; un cosmos dans sa globalit&eacute;. Lorsque la conscience est plong&eacute;e dans une exp&eacute;rience de ce type elle est plong&eacute;e dans une forme d'&eacute;ternit&eacute;. Je peux parler d'extase. </p> <p>Dans l'exp&eacute;rience religieuse, on a l'exaltation d'un &laquo;je&raquo; par l'exaltation d'un &laquo;tu&raquo;, ce qui est juste l'inverse de la fusion. (Je n'ose pas parler du &laquo;il&raquo; car je ne pense pas qu'un &laquo;il&raquo; puisse exister dans la conscience &agrave; cet instant-l&agrave;! L'&eacute;crasante pr&eacute;sence de l'Alt&eacute;rit&eacute; avec un grand &laquo;A&raquo;, emp&ecirc;che la disponibilit&eacute; mentale requise pour prendre en compte une tierce personne inh&eacute;rente au &laquo;il&raquo;…) </p> <p>Ce qui m'&eacute;tonne sous cet &eacute;clairage neuf de ces instants qui furent des moments essentiels et sans cesse repens&eacute;s de ma vie, c'est que j'assume enfin verbalement ce que j'ai toujours ressenti sans pouvoir ou sans oser le dire: l'exp&eacute;rience religieuse est comme marqu&eacute;e au fer rouge par une incompl&eacute;tude qui est aussi son aiguillon! La principale manifestation de cette incompl&eacute;tude est une angoisse temporelle: la crainte qu'Il parte, qu'Il ne reste pas… Je compte les secondes qui me sont donn&eacute;es… Le Divin est devant moi, en moi, mais pas moi! </p> <p>Ce n'est pas du tout ce qui se passe pendant l'exp&eacute;rience du sublime. Lorsque je pleure d'&eacute;motion en &eacute;coutant une fugue de Bach par exemple, ce qui m'est souvent arriv&eacute;, le bonheur est extr&ecirc;me mais il n'y a pas &laquo;l'Autre&raquo;, il n'y a qu'un &laquo;moi&raquo; dont les limites semblent me fuir! Ce bonheur-l&agrave; rel&egrave;ve d'une intimit&eacute; parfaite voire d'une confusion entre le &laquo;moi&raquo; et le reste. Il y a bien extension de ma conscience. Pour dire le sublime, certains parlent d'un &laquo;sentiment oc&eacute;anique&raquo;, ce qui est encore plus suggestif de l'extase v&eacute;cue par la conscience… </p> <blockquote> <p class="turquoisemaigre">Cette exp&eacute;rience extatique (qui est aussi celle de l'orgasme sexuel lorsqu'il se laisse totalement aller&nbsp;&agrave; l'ordre du plaisir), il faut encore la distinguer de l'&eacute;motion tr&egrave;s forte mais pas du tout extatique que chacun de nous a pu ressentir dans une salle de cin&eacute;ma par exemple, lorsque le film est &eacute;mouvant sans &ecirc;tre particuli&egrave;rement esth&eacute;tisant. Je ne fais pas allusion ici &agrave; la vulgaire exp&eacute;rience d'empathie avec l'acteur dans un temps fort du sc&eacute;nario; je parle de ce remuement d'&acirc;me qui nous agite encore lorsqu'on quitte la salle de projection et qui est finalement, &agrave; bien y regarder, tr&egrave;s &eacute;gocentr&eacute;. Cette derni&egrave;re exp&eacute;rience, contrairement &agrave; l'exp&eacute;rience religieuse ou au sentiment du sublime, est une exp&eacute;rience principalement &laquo;critique&raquo; dans le sens philosophique du mot: un effet de mise en perspective du &laquo;moi&raquo; dont le champ se sature soudainement par ce &laquo;moi&raquo;. Cette exp&eacute;rience-l&agrave;, l'art la suscite bien plus souvent qu'il ne suscite l'exp&eacute;rience du sublime (ou l'exp&eacute;rience religieuse). Elle n'a &eacute;videment pas grand-chose &agrave; voir avec la question du beau et ne touche &agrave; la question de l'alt&eacute;rit&eacute; que parce que c'est l'alt&eacute;rit&eacute; qui dessine mes fronti&egrave;res (et que j'ai toujours besoin de conna&icirc;tre mes propres fronti&egrave;res pour mieux y rebondir vers moi-m&ecirc;me). Ce qui sature alors ma conscience c'est le &laquo;moi&raquo; et rien que le &laquo;moi&raquo;, inscrit dans le temps et l'espace. Je suis bel et bien dans une introspection enflamm&eacute;e, passionn&eacute;e, aigu&euml; et en exc&egrave;s de vitesse… Dans ces instants-l&agrave;, l'alt&eacute;rit&eacute; pourrait bien dispara&icirc;tre que je ne m'en porterait pas plus mal. On n'est ni dans un sentiment oc&eacute;anique ni dans la Pr&eacute;sence de l'Autre. </p> <p class="turquoisemaigre">L'oeuvre cin&eacute;matographique (ou, d'une mani&egrave;re plus g&eacute;n&eacute;rale, l'oeuvre qui mise plus sur la narration que sur la forme) peut aussi bien susciter l'exp&eacute;rience oc&eacute;anique que la crise introspective (voire m&ecirc;me l'exp&eacute;rience religieuse), mais je ne peux plus confondre les cat&eacute;gories mise en jeu! Il y a d'ailleurs dans cette inflation ou dissolution du &laquo;moi&raquo; dans la conscience du spectateur la cl&eacute; de la diff&eacute;rence entre le roman sentimental et la po&eacute;sie. Ce n'est pas toujours tr&egrave;s facile de faire cette distinction car ces exp&eacute;riences ne sont pas toujours tr&egrave;s intenses, or, en r&eacute;gime de basse intensit&eacute;, le sentiment du sublime (comme l'orgasme d'ailleurs) n'exclu pas encore totalement la question du &laquo;je&raquo; (c'est peut-&ecirc;tre m&ecirc;me le contraire qui se passe!).</p> </blockquote> <p align="center">***</p> <p>De toutes ces &quot;crises&quot;, il me semble &eacute;vident que c'est l'exp&eacute;rience religieuse qui est la plus puissante et donc c'est elle qui est la plus susceptible de transformer une vie aux racines. L'exp&eacute;rience religieuse serait m&ecirc;me, selon mon point de vue, la plus forte exp&eacute;rience qu'un homme puisse subir …apr&egrave;s celle de la souffrance extr&ecirc;me bien entendu! Je ne sais pas si toutes les exp&eacute;riences que l'on dit &laquo;mystiques&raquo; correspondent &agrave; ce que j'appelle ici une exp&eacute;rience religieuse. J'ai envie de croire au contraire que certaines sont extatiques et &agrave; ce titre sont plut&ocirc;t de l'ordre de l'orgastique, de l'oc&eacute;anique voire m&ecirc;me de l'&eacute;pileptique! </p> <p>Mais ce que Blaise Pascal a &eacute;crit de son exp&eacute;rience mystique de 1654 et qui pour d'aucun rel&egrave;ve par excellence de ce qu'on a coutume d'appeler une exp&eacute;rience religieuse n'est clairement pas du tout une exp&eacute;rience extatique. Dois-je rappeler ici que Pascal commence par y &eacute;voquer tr&egrave;s pr&eacute;cis&eacute;ment des coordonn&eacute;es temporelles. </p> <p>Ensuite, il ne s'en r&eacute;f&eacute;re pas beaucoup &agrave; des sentiments personnels &eacute;largis mais, tout au contraire, &agrave; des r&eacute;f&eacute;rences impersonnelles tr&egrave;s pr&eacute;cises de la sph&egrave;re spirituelle qui fut celle de la France de son temps. Pascal &eacute;tait, durant ces moments de crise, dans une exp&eacute;rience relationnelle (et non fusionnelle). L'exp&eacute;rience &eacute;tait tellement forte qu'ensuite il n'osera pas en parler. Cette pudeur t&eacute;moigne de ce qu'il avait v&eacute;cu cette exp&eacute;rience presque comme on vit celle d'un p&eacute;ch&eacute;&nbsp;(sinon celui de l'&eacute;treinte illicite, au moins celui d'avoir &quot;chipot&eacute;&quot; un Dieu qu'en bonne th&eacute;ologie on supposait supra-temporel et supra-spatial). C'est sans dire qu'en plus du risque d'&ecirc;tre jug&eacute; h&eacute;r&eacute;tique, parler publiquement d'une telle exp&eacute;rience l'aurait expos&eacute; au risque d'&ecirc;tre jug&eacute; fou… Pascal va donc &eacute;crire ce texte exclusivement pour lui-m&ecirc;me, pour en pr&eacute;server la pr&eacute;cieuse m&eacute;moire contre son corps comme on pr&eacute;serve un f&eacute;tiche. Il cachera le papier dans une doublure de son v&ecirc;tement d&eacute;cousue et recousue autant de fois que n&eacute;cessaire jusqu'&agrave; sa mort huit ans plus tard</p> <p> Cette pudeur-l&agrave; autant que le reste de son oeuvre le d&eacute;livre de la suspicion de psychose: Pascal a gard&eacute; en alerte ses cat&eacute;gories objectives qui lui permettaient aussi de sentir &agrave; quel point ce qu'il venait de vivre &eacute;tait hors des cat&eacute;gories de la science. Or c'est justement cette lucidit&eacute;-l&agrave; qui manque chez le psychotique! Je note aussi que Pascal n'a pas &eacute;lud&eacute; l'incompl&eacute;tude de son exp&eacute;rience; lui aussi s'inqu&eacute;tait de sa dur&eacute;e limit&eacute;e...</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p align="center"><img width="48" height="55" src="../../tengna/paspyw-im00-croixmalte.gif" alt="+"></p> <blockquote> <p align="center" class="vertmaigre">L'an de gr&acirc;ce 1654, </p> <p class="vertmaigre">Lundi, 23 novembre, jour de saint Cl&eacute;ment, pape et martyr, et autres au martyrologe. <br> Veille de saint Chrysogone, martyr, et autres, <br> Depuis environ dix heures et demie du soir jusques <br> environ minuit et demie. </p> <p align="center" class="vertmaigre">FEU. </p> <p class="vertmaigre">DIEU d'Abraham, DIEU d'Isaac, DIEU de Jacob, <br> non des philosophes et des savants. <br> Certitude. Certitude. Sentiment, Joie, Paix. <br> DIEU de J&eacute;sus-Christ. <br> <em>Deum meum et Deum vestrum </em>. <br> Ton DIEU sera mon Dieu. <br> Oubli du monde et de tout, hormis DIEU. <br> Il ne se trouve que par les voies enseign&eacute;es dans l'&Eacute;vangile. <br> Grandeur de l'&acirc;me humaine. <br> P&egrave;re juste, le monde ne t'a point connu, mais je t'ai connu. <br> Joie, Joie, Joie, pleurs de joie. <br> Je m'en suis s&eacute;par&eacute;. </p> <p class="vertmaigre"><em>Dereliquerunt me fontem aquae vivae </em>. <br> Mon Dieu, me quitterez-vous? </p> <p class="vertmaigre">Que je n'en sois pas s&eacute;par&eacute; &eacute;ternellement. </p> <p class="vertmaigre">Cette est la vie &eacute;ternelle, qu'ils te connaissent seul vrai Dieu, et celui que tu as envoy&eacute;, J.C. <br> J&eacute;sus-Christ. </p> <p class="vertmaigre">J&eacute;sus-Christ. </p> <p class="vertmaigre">Je m'en suis s&eacute;par&eacute;; je l'ai fui, renonc&eacute;, crucifi&eacute;. <br> Que je n'en sois jamais s&eacute;par&eacute;. </p> <p class="vertmaigre">Il ne se conserve que par les voies enseign&eacute;es dans l'&Eacute;vangile: <br> Renonciation totale et douce. </p> <p class="vertmaigre">(Blaise Pascal)</p> <p class="vertmaigre">&nbsp;</p> <blockquote> <p class="turquoisemaigre petit">Note du webmaster: Je n'ai pas recopi&eacute; la derni&egrave;re des phrases traditionnellement attribu&eacute;es au M&eacute;morial de Pascal pour des raisons &eacute;videntes qui sont probablement les m&ecirc;mes qui inclin&egrave;rent l'&eacute;dition Pl&eacute;iade &agrave; ne pas non plus retranscrire cette phrase. Il suffit de lire le commentaire de Guerrier ci-dessous pour comprendre le pourquoi... Jamais d'ailleurs cet ajout ne m'a paru psychologiquement et th&eacute;ologiquement coh&eacute;rent avec le reste du texte. - paul yves wery </p> <blockquote> <p class="petitpetit">&laquo; Peu de jours apr&egrave;s la mort de M. Pascal, &eacute;crit le P. Guerrier, un domestique de la maison s'aper&ccedil;ut par hasard que dans la doublure du pourpoint de cet illustre d&eacute;funt il y avait quelque chose qui paraissait plus &eacute;pais que le reste, et ayant d&eacute;cousu cet endroit pour voir ce que c'&eacute;tait, il y trouva un petit parchemin pli&eacute; et &eacute;crit de la main de M. Pascal, et dans ce parchemin un papier &eacute;crit de la m&ecirc;me main : l'un &eacute;tait une copie fid&egrave;le de l'autre. Ces deux pi&egrave;ces furent aussit&ocirc;t mises entre les mains de Mme P&eacute;rier qui les fit voir &agrave; plusieurs de ses amis particuliers. Tous convinrent qu'on ne pouvait pas douter que ce parchemin, &eacute;crit avec tant de soin et avec des caract&egrave;res si remarquables, ne f&ucirc;t une esp&egrave;ce de m&eacute;morial qu'il gardait tr&egrave;s soigneusement pour conserver le souvenir d'une chose qu'il voulait avoir toujours pr&eacute;sente &agrave; ses yeux et &agrave; son esprit, puisque depuis huit ans il prenait soin de le coudre et d&eacute;coudre &agrave; mesure qu'il changeait d'habits. &raquo; Le parchemin a &eacute;t&eacute; perdu, mais nous en poss&eacute;dons une &laquo; copie figur&eacute;e &raquo; de la main de Louis P&eacute;rier, et nous avons encore le papier sur lequel Pascal a consign&eacute; d'une main f&eacute;brile son ravissement et les pens&eacute;es que lui inspira Dieu. C'est le brouillon que nous reproduisons ici, en respectant la disposition de ce texte m&eacute;morable. Le parchemin y ajoute quelques r&eacute;f&eacute;rences &agrave; l'&Eacute;criture, que l'on peut compl&eacute;ter ainsi : </p> <ul> <li class="petitpetit">1re ligne apr&egrave;s Feu, Ex. m, 6 ; <a href="../rel-citationsbible/1oty.htm#2232" target="pop0extase" onclick="MM_showHideLayers('glap1','','show','startpoptrans','','hide','poptrans','','show','x','','hide')">Mat. XXII, 32</a>. </li> <li class="petitpetit">5e : <a href="../rel-citationsbible/4oty.htm#2017" target="pop0extase" onclick="MM_showHideLayers('glap1','','show','startpoptrans','','hide','poptrans','','show','x','','hide')">Jean XX, 17</a> ; </li> <li class="petitpetit">6e : Ruth I, 16. </li> <li class="petitpetit">10e : <a href="../rel-citationsbible/4oty.htm#1725" target="pop0extase" onclick="MM_showHideLayers('glap1','','show','startpoptrans','','hide','poptrans','','show','x','','hide')">Jean XVll, 25</a>. </li> <li class="petitpetit">13e : Jer. II, I3. </li> <li class="petitpetit">16e : <a href="../rel-citationsbible/1oty.htm#2746" target="pop0extase" onclick="MM_showHideLayers('glap1','','show','startpoptrans','','hide','poptrans','','show','x','','hide')">Mat. XXVII, 46</a>.</li> <li class="petitpetit">18e : <a href="../rel-citationsbible/4oty.htm#176" target="pop0extase" onclick="MM_showHideLayers('glap1','','show','startpoptrans','','hide','poptrans','','show','x','','hide')">Jean XVII, 6</a> (d'apr&egrave;s la traduction de Ren&eacute; Benoist). </li> </ul> <p class="petitpetit">En outre, le parchemin ajoute ces trois lignes, dont &Eacute;tienne P&eacute;rier, dit qu'on n'a pu voir distinctement que certains mots </p> <blockquote> <p class="petitpetit ital">Soumission totale &agrave; J&eacute;sus-Christ et &agrave; mon directeur. &Eacute;ternellement en joie pour un jour d'exercice sur la terre. </p> <p class="petitpetit ital">Non obliviscar sermones tuos. Amen. </p> </blockquote> <p class="petitpetit">Cette derni&egrave;re ligne tir&eacute;e des Ps. XXVIII, 16. &raquo; </p> <blockquote> <p class="petitpetit">(P. Guerrier, Cit&eacute; dans l'&eacute;dition Pleiade de 1939, p.337) </p> </blockquote> <p class="petitpetit">&nbsp;</p> <p class="petitpetit">&nbsp;</p> <p class="petitpetit">&nbsp;</p> </blockquote> </blockquote> </blockquote> <p align="center"><img src="../../tengna/paspyw-im00-croixmalte.gif" width="48" height="55"></p> <p>&nbsp; </p> <p>paul yves wery </p> <p>Sarapie - Ao&ucirc;t 2011 </p> <p>&nbsp;</p> <p>Sur ce site, vous pouvez acceder &agrave; trois autres articles d&eacute;di&eacute; &agrave; l'exp&eacute;rience mystique:</p> </div> <!-- pywnavbottom==== --> <div class="centre"> <p ><a href="rel-spirit-experience01-bd.htm" target="_blank">La &quot;crise&quot; spirituelle</a></p> <p ><a href="rel-spirit-experience02.htm#0" target="_self">L'exp&eacute;rience spirituelle douce </a></p> <p ><a href="rel-spirit-experience03.htm#0" target="_self">Exp&eacute;rience mystique et sant&eacute; mentale </a></p> </div> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <p>&nbsp;</p> <!--__comoun tao__--> <Div class="centre petit "> <p>*********************</p> <p><a href="../../index-religion.htm" target="_top">Menu (Fr)</a> - <a href="../../index-religion-en.htm" target="_top">Menu (En)</a> </p> <p><a href="../../index.htm" target="_top">Accueil - Welcome</a></p> <p>*********************</p> <p><a href="../../Links/links-intro-yves.htm" target="pop0extase" onClick="MM_showHideLayers('glap1','','show','startpoptrans','','hide','poptrans','','show','x','','hide')">Webmaster</a> - <a href="../rel-liens/rel-contact%20stylite.htm" target="pop0extase" onClick="MM_showHideLayers('glap1','','show','startpoptrans','','hide','poptrans','','show','x','','hide')">Contact@</a></p> <p><a href="../../index.htm" target="_top">www.STYLITE.net</a> - <a href="../../index-aids-hospice.htm" target="_top">www.AIDS-HOSPICE.com</a> - <a href="../../index-prevaids.htm" target="_top">www.PREVAIDS.org</a></p> </div> </td> </tr> </table> </div>